Bonson (Loire)

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Bonson
Bonson (Loire)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Montbrison
Intercommunalité Loire Forez Agglomération
Maire
Mandat
Thierry Deville
2021-2026
Code postal 42160
Code commune 42022
Démographie
Gentilé Bonsonnais [1]
Population
municipale
4 363 hab. (2021 en augmentation de 16,44 % par rapport à 2015)
Densité 847 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 31′ 27″ nord, 4° 13′ 00″ est
Altitude Min. 355 m
Max. 385 m
Superficie 5,15 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Just-Saint-Rambert
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Étienne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-Saint-Rambert
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Bonson
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Bonson
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Bonson
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Bonson
Liens
Site web mairie-bonson.fr

Bonson est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes, faisant partie de Loire Forez Agglomération.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune de Bonson est située dans la plaine du Forez, à 4 kilomètres à l'ouest d'Andrézieux-Bouthéon[2], à 16 kilomètres au sud-est de Montbrison[3] et à 20 kilomètres au nord-ouest de Saint-Étienne[4].

Ses communes limitrophes sont :

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 647 mm, avec 7,9 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Étienne-Bouthéon », sur la commune d'Andrézieux-Bouthéon à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 728,3 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Statistiques 1991-2020 et records ST ETIENNE-BOUTHEON (42) - alt : 395m, lat : 45°32'44"N, lon : 4°17'37"E
Records établis sur la période du 01-04-1946 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,3 0,2 2,6 5 9 12,6 14,4 14,2 10,7 8,1 3,7 1,1 6,8
Température moyenne (°C) 3,8 4,5 7,8 10,7 14,6 18,5 20,7 20,6 16,4 12,7 7,6 4,6 11,9
Température maximale moyenne (°C) 7,3 8,8 13,1 16,3 20,3 24,5 26,9 26,9 22,2 17,3 11,4 8 16,9
Record de froid (°C)
date du record
−25,6
04.01.1971
−22,5
11.02.1956
−13,9
08.03.1971
−7,4
08.04.21
−3,9
01.05.1976
−0,6
03.06.1962
2,9
01.07.1972
1,1
26.08.1966
−2,6
26.09.1972
−6,2
30.10.1950
−10,6
26.11.1955
−18,6
22.12.1963
−25,6
1971
Record de chaleur (°C)
date du record
20
10.01.15
23,2
24.02.1990
26,4
25.03.1981
28,8
16.04.1949
33,7
13.05.15
38
27.06.19
41,1
07.07.15
40,9
24.08.23
36
13.09.1987
32,4
02.10.23
25,2
09.11.1985
20,2
25.12.1983
41,1
2015
Ensoleillement (h) 814 1 086 1 623 1 862 2 137 2 407 2 751 2 591 1 932 1 347 876 758 20 184
Précipitations (mm) 38,3 30,3 33,9 55 81,5 80,8 77,2 72,8 70,3 76,2 73 39 728,3
Source : « Fiche 42005001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bonson est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Just-Saint-Rambert, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[14] et 64 061 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (51,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (47,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (45 %), prairies (23,7 %), forêts (11,9 %), zones agricoles hétérogènes (9,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,4 %), terres arables (2 %), eaux continentales[Note 3] (1,2 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Transports[modifier | modifier le code]

Transports routiers[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par une ligne des navettes de Loire Forez Agglomération reliant la Gare de Bonson à Saint-Just-Saint-Rambert[20]. Elle est également desservie par les lignes C2, L10, L11 et L13 du réseau Cars Région Loire.

Par ailleurs, la commune est desservie par des autocars TER Auvergne-Rhône-Alpes qui la relient à Thiers via Montbrison, Boën et Noirétable. La ligne Cars Région Express X18 nouvellement créée, remplaçant les autocars SNCF reliant Saint-Étienne Châteaucreux à Clermont-Ferrand dessert également la commune.

Transports ferroviaires[modifier | modifier le code]

La gare de chemin de fer, sur la ligne de Clermont-Ferrand à Saint-Just-sur-Loire, est desservie par des TER Auvergne-Rhône-Alpes reliant Boën ou Montbrison à Saint-Étienne-Châteaucreux.

Histoire[modifier | modifier le code]

C'est vraisemblablement[21] l'église de Bonson qui est mentionnée dans les possessions de l'abbaye de l'Île Barbe en 1183 : une erreur du copiste la donnant « Ecclesiam de Benerone » à la place de « Bonczon » (Bonson)[22].

Bonson ne compte que 34 feux en 1789[23].

Au milieu du XIXe siècle, l'élevage du ver à soie fait connaitre la petite commune. En 1838, Bonneton, spécialiste de la culture des mûriers, vient de Chavanay, à la demande du préfet, afin de procéder à la taille des mûriers pour les propriétaires foreziens. Mobilisé par Fleury Robert, il passe à Bonson 4 journées pleines sur les 39 qu'il consacre aux arrondissements de Montbrison et de Roanne[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Bonson faisait partie de la communauté de communes Forez Sud en 1996, puis de la communauté d'agglomération de Loire Forez de 2003 à 2016 et a ensuite intégré Loire Forez Agglomération.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1945 mai 1953 Julien Chareyre    
mai 1953 mars 1977 Marcel Pouillon    
mars 1977 mars 1983 Jean Relave    
mars 1983 mars 1989 Marcel Pouillon    
mars 1989 mars 2008 Marcel Murgue PS Technicien métallurgiste
mars 2008 janvier 2021 Joseph Deville MoDem Retraité
janvier 2021 En cours Thierry Deville [25]    

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 4 363 habitants[Note 4], en augmentation de 16,44 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
176191188240216224214237240
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
210256244252282313329311335
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
367335364365368476536616709
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
9041 0961 5132 5663 8803 8163 7103 6803 715
2018 2021 - - - - - - -
3 9604 363-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,7 % la même année, alors qu'il est de 28,4 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 954 hommes pour 2 006 femmes, soit un taux de 50,66 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,65 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
0,7 
7,5 
75-89 ans
8,3 
21,3 
60-74 ans
21,1 
18,2 
45-59 ans
20,3 
17,8 
30-44 ans
17,4 
15,3 
15-29 ans
13,7 
19,3 
0-14 ans
18,4 
Pyramide des âges du département de la Loire en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,3 
7,9 
75-89 ans
10,9 
17,2 
60-74 ans
18,1 
19,5 
45-59 ans
18,8 
17,7 
30-44 ans
16,9 
17,8 
15-29 ans
16,1 
19,2 
0-14 ans
16,9 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Chapelle Notre-Dame de Bonson[modifier | modifier le code]

La chapelle, nichée au fond du bourg ancien[réf. souhaitée], est l'ancienne église du village. Elle fut construite au XIe siècle puis agrandie aux XVe et XVIe siècles par l'adjonction de trois petites chapelles collatérales. La chapelle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques[32].

Notre-Dame de Bonson est l'un des principaux lieux de pèlerinage marial du Forez.

La chapelle collatérale datée de 1549 est la chapelle sépulcrale des Gonyn connus depuis le XIVe siècle à Saint-Rambert en Forez. Ceux-ci possédèrent à Bonson la terre de Lurieu et le fief de Forette (14) dont les deux branches de la famille prirent le nom.

Autres édifices[modifier | modifier le code]

  • Église Sainte-Thérèse-de-l'Enfant-Jésus de Bonson.
  • Château de Bonson, toujours dans la descendance des Gonyn de Forette et des Praire de Neysieux, datant de 1686 pour sa partie la plus ancienne. Son parc sert d'écrin naturel au sanctuaire.
  • Château de Lurieu, construit au XIXe siècle sur l'un des anciens domaines ruraux des Gonyn de Forette.
  • La gare, construite en 1865, typique des petites gares de village édifiées sous Napoléon III.

Et, un peu plus loin :

  • Château de la Merlée ;
  • Château de Bouthéon ;
  • Château d'Essalois ;
  • Château de la Péguette.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Fleury Robert (1779-1859), maire de Bonson du 28 septembre 1821 au 25 janvier 1826, puis maire de Saint-Rambert-sur-Loire et député de la Loire (1831-1834) fit de Bonson l'une des principales communes séricicoles de la plaine du Forez[33]. Il construisit à Saint-Rambert, à l'époque de la monarchie de Juillet, un pont suspendu, méthode Seguin (pont dit en fil de fer) pour remplacer le bac à traille qui avait pris la suite d'un vieux pont de pierre disparu dans le dernier quart du XVIIIe siècle. Au début de son mandat, il fut le premier à envisager la création du canal d'irrigation qui devait être réalisé plus tard par Fialin de Persigny[34]. Second mari de Benoite Gonyn (1772-1847), il initia les premières transformations du vieux bourg de Bonson et mourut sans postérité.
  • Antoine Philippe Praire de Neysieux (1793-1860), fils du défenseur de Lyon bien connu des historiens foreziens et de Benoite Gonyn, fut élu maire de Saint-Étienne mais déclina cet honneur. Avec quelques personnalités locales, il fonda une société qui, en 1851, reconstruisit le pont suspendu de Saint-Rambert, emporté par la grande inondation de 1846. Il poursuivit la restauration du bourg de Bonson. Son tombeau est visible dans l'ancien cimetière de la commune[réf. nécessaire].
  • Florian Balas, gendre du précédent, mort à Bonson en 1924, avait été en 1898, l'un des principaux fondateurs des manufactures réunies de Saint-Chamond. Il avait procédé, en 1895, aux toutes dernières constructions dans le vieux bourg de Bonson qui, depuis, n'a subi aucune modification[réf. nécessaire].
  • Sylvain Girerd, (1878-?) propriétaire du Château des Vignes à Bonson[réf. nécessaire], offrit des parts de son terrain à la ville afin de construire ce que sont encore aujourd'hui la gare, l'église et les terrains sportifs de Bonson. La rue longeant sa propriété est l'actuelle rue Sylvain Girerd.

Vie industrielle[modifier | modifier le code]

  • L'entreprise Souvignet, fabricant de mobilier et d'ameublement possède son siège social sur la commune de Bonson,
  • L’entreprise Altinnova, fabricante d’équipements vélo (stationnements, dispositifs de gonflage et d’entretien), a son siège à Bonson depuis 2014, après Saint-Marcellin-en-Forez en 2007[35].

Vie culturelle et sportive[modifier | modifier le code]

  • FJEP Bonson (Korfbal) : "meilleur palmarès français, avec 14 titres de champion de France et 17 coupes de France. Et la fédération de la Loire fournit 100 % des joueurs de l’équipe de France de korfbal"[36]
  • Lieues Foréziennes organisées chaque 11 novembre : 3 lieues (10,6 km) et 5 lieues (21,1 km)[37]
  • Plusieurs autres lieux sont présents pour pratiquer toutes sortes de sports comme un terrain de football ou bien un gymnase.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. https://www.habitants.fr/loire-42
  2. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Bonson et Andrézieux-Bouthéon », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  3. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Bonson et Montbrison », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  4. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Bonson et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Bonson et Andrézieux-Bouthéon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Étienne-Bouthéon », sur la commune d'Andrézieux-Bouthéon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Saint-Étienne-Bouthéon », sur la commune d'Andrézieux-Bouthéon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Saint-Just-Saint-Rambert », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. « Navettes urbaines », sur Loire Forez Agglomération (consulté le ).
  21. « En 1225, la cure de Bonson avait pour collateur le prieure de Saint-Rambert ». J.-E. DUFOUR, Dictionnaire topographique du département de la Loire, Presses universitaires de Saint-Étienne, (réimpr. 2006), p. 87.
  22. Parrochia de Bonczonis (1224). Cart. du Forez, no 42, p. 2.
  23. cahier de doléances
  24. rapport de Bonneton au préfet du 17 juin 1838-BUL DE LA DIANA- 5- 1964
  25. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bonson (42022) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Loire (42) », (consulté le ).
  32. Notice no PA00117429.
  33. au bourg de Bonson éditions aux arts, Lyon
  34. Thierry Monnet, Le canal du Forez, une aventure humaine et technique.
  35. Forez: Altinnova révolutionne le stationnement vélo, Le Progrès, Stéphanie Gallo, 13 mai 2019
  36. « Le korfbal dans la Loire : 30 ans de mixité sur les terrains ».
  37. « Site officiel des Lieues Foréziennes ».

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Josette Garnier, Bourgeoisie et propriété immobilière en Forez aux XVIIe et XVIIIe siècles, Centre d'études foreziennes,
  • Thierry Monnet, « Le canal du Forez, une aventure humaine et technique », sur Les carnets de l'Inventaire, étude sur le patrimoine culturel, Rhône-Alpes & Auvergne (consulté le ).
  • Charles Signerin, Notre Dame de Bonson et son pèlerinage, Saint-Etienne, imp. Théolier,
  • Frederique Tezenas du Montcel _ Bonson analyse paysagère _ Jardin Patrimoine Ecully 2015
  • Jean-Baptiste Sonyer Du Lac, Les fiefs du Forez, Lyon, impr. de L. Perrin, (lire en ligne)

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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